Le label alimentaire Bleu-Blanc-Cœur est avant tout à “vocation santé”: il s’agit de garantir des aliments meilleurs pour la santé qu’une consommation conventionnelle. Entre autres choses, le lait Bleu-Blanc-Cœur contient plus d’omega 3 que le lait conventionnel. Cette qualité est obtenue à travers l’alimentation des animaux. Celle alimentation diversifiée doit également servir de débouché à des cultures qui disparaissent des rotations agricoles, comme la luzerne.
Comme pour les porcs et les volailles, Bleu-Blanc-Cœur Lait affiche une volonté de favoriser la santé de la terre, des animaux et des humains.
En favorisant l’alimentation locale et la rotation des cultures, la démarche a un impact positif. On salue l’annonce d’une prochaine interdiction du soja d’importation, facteur de déforestation. Les impacts environnementaux sont en partie limités par l’absence de contraintes sur les cultures, comme l’interdiction d’intrants chimiques dont les pesticides.
Filières concernées : La démarche Bleu-Blanc-Cœur s’applique à différentes filières et à tous les niveaux d’une filière (de l’alimentation animale aux transformateurs).
Année de création : L’association Bleu-Blanc-Cœur a été fondée en 2000, les cahiers des charges ont été revus en 2019.
Type de démarche : Cahiers des charges dits de “ressources”, par filière, contrôlés par des audits internes ou externes.